Dans un vieux château situe dans le Nord de l'Italie, non loin de Turin, minuit est véritablement une heure d'exception. C'est le moment de prédilection des fantômes qui hantent le castelle de la rotta depuis des temps immémoriaux. Dix sept silhouettes vaporeuses habitent les murs. Certains de ces esprits seraient des templiers, membres d'un ordre religieux riche et influent ayant règne sur le domaine pendant deux siècles. La crainte de leur puissance et la convoitise de leurs richesses ont conduit le roi de France Philippe IV a les accuser d'hérésie et à abolir leur ordre en 1312. Sur ses ordres, de nombreux chevaliers furent torturés et brûlés vif. D'autres esprits du château incarneraient les malheureuses victimes d'une épidémie de peste survenue en 1931. A cette époque plus de 300 cadavres furent enterres en hâte sous le porche du château. Et pendant l'invasion française de Turin en 1639, des milliers de personnes furent tues et beaucoup de corps furent jettes dans le puits. Au cours de ses dernières années, le château et ses prétendus fantômes sont devenue une sorte d'attraction touristique, en partie grâce à l'action du comte Augusto Olivero. Cet avocat de Turin vit avec sa famille dans une aile restaurée du château et parait insensible a ces étranges locataires, en fait il invite régulièrement des observateurs autorisés et digne de confiance à faire à minuit le guet sur les remparts.


Olivero guide personnellement ses visiteurs, qui ne manquent jamais d'emporter leurs appareilles photos, dans la cour intérieure ou il photographia luis même des esprits en 1982. Ce dernier sera alors passer sous le porche pour se rendre à la chapelle. En 1984 un autre revenant, le fantôme d'un templier, sortit d'un mur de brique près de la chapelle pendant le tournage d'une émission de télévision locale. Dans la chapelle déserte une femme prétendit même avoir vu, en 1987 une mince colonne de lumière bleuté d'une hauteur d'un mètre cinquante environ. La lueur était envelopper d'un suaire et répondait aux questions d'Olivero en intensifiant son aura, une fois pour répondre oui deux fois pour non.


Une ombre moins expressive aurait également hante la tour du Castello de la Rotta. La légende veut qu'une jeune femme, force d'épouser le vieux châtelain, se soit jetée du haut de la tour la nuit de ses noces. De temps a autres son fantôme serait aperçu au abord de la tour puis un cris affreux serai entendu tous les ans, le 15 juin une procession de revenants s'assemblerai dans la cour intérieure pour célèbre l'anniversaire de sa mort, une année, Olvero prétendit avoir fixe le reflet de deux participants sur la pellicule. Cependant le revenant le plus fidèle est celui d'Arturo. Sa silhouette squelettique arbore une croix et galope dans les couloirs du château sur un cheval décharné. En 1980 deux jours après que le conte Olivero eu découvert les ossements d'un cavalier et de sa monture ainsi qu'une croix de fer dans la tourbe séchée, Arturo se serai matérialisé devant un groupe de visiteurs et laisse photographier. Les septiques proposent des explications plus terre à terre pour expliquer ces apparitions, mais les adeptes de la parapsychologie continuent de considérer le Castel de la Rotta comme le siège de nombreux esprits, témoins du passe de l'Italie.


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