PHENOMENES


L'ovni tournait autour de nos f-16
Mission d'interception de nuit "alpha scramble" du 31 mars 1990, région de Louvain (Belgique), 0h13.
L'enregistrement de l'écran radars du chasseur F-16A du capitaine Meelbergs dure environ vingt-cinq secondes. On peut y lire l'altitude de la cible son azimut et sa vitesse. L'ovni, schématisé par un losange, est passé d'une altitude d'environ 2000 m jusqu'à 3000 m avant de descendre sous une hauteur de 300 m, sa vitesse passant de 300 km/h à 1000 km/h en une seconde !


Entre 1989 et 1992, de mystérieux triangles volants ont été observés en Belgique.
le cliché de l'ovni observé au Petit Rechain près de Liège, début avril 1990 analysé par ordinateur en coupe densimétrique.


J'ai vu l'ovni devenir transparent et disparaître.
Il s'agit de l'une des observations de pilote les plus troublantes. En 1994 un équipage d'air France a aperçu un disque géant dans le ciel de la région parisienne et les radars militaires ont confirmé.

l'ensemble des informations radar recueillies par les radars civils et militaires du système Strida (système de traitement et de représentation des informations de défense aérienne) sont acheminées vers le centre opérationnel de la défense aérienne de l'armée de l'air (coda), enterré à 60 m de profondeur dans un énorme bunker souterrain à Taverny dans l'Oise, le coda surveille l'espace aérien de l'éxagone jusqu'à 22000 m d'altitude soit une zone d'environ 5 millions de km2.

le 28 janvier 1994, le centre de détection de cinq-mars-la Pile, près de Tours, à enregistré la piste radar d'un ovni pendant 50 s, au cap 240 vers l'Ouest, à une vitesse de 185 km/h coupant la trajectoire d'un Airbus A320 à la verticale de Coulommiers !


   
Si les ovnis se déplacent dans les airs, il est logique que les pilotes d'avion soient les mieux placés pour les observer. Et c'est vrai qu'en réalité, les forces aériennes de nombreux pays, ont enregistré des témoignages interpellant de leurs pilotes, parfois confirmés par des échos radars inexplicables. C'est le cas de la Belgique. A partir du 29 novembre 1989, les témoignages d'objets étranges survolant notre territoire se font de plus en plus nombreux Pendant toute la durée de la vague d'observations, l'orsque armée de l'air s'inquiète de voir son espace aérien violé à nombreuses reprises par des objets volants non identifiés. Nos militaires prennent tous les témoignages civils au sérieux. Yves Meelbergs faisait partie des pilotes de F-16 chargés de poursuivre nos ovnis belges.
Les deux premières tentatives d'interception n'ont rien donné. La troisième sera la bonne : dans la nuit du 30 mars 1990, Yves et son équipier reçoivent l’ordre de décoller immédiatement : lorsque l'ovni est revenu.

Sur l'enregistrement radar présenté aux journalistes, on voit que l'ovni évolue à 3000 mètres d'altitude et à une vitesse de 1000 km/h. En 4 secondes, il plonge à 1500 mètres et sa vitesse passe à 2000 KM/H. Sans bang supersonique. Aujourd'hui encore, aucun avion connu n'est capable d'une telle performance nous explique Yves Meelbergs : " Non, là on est dans quelque chose qui dépasse les performances que nous connaissions à l'époque mais également qu'on connaît aujourd'hui. Les accélérations sont trop rapides. Il n'y a pas de bang supersonique, il y a des changements trop rapides en altitude Franchement, c'est difficile voire impossible à expliquer. Si ce sont des engins, alors on est face à quelque chose qui a des caractéristiques bien supérieures par rapport à ce que nous possédons à l'heure actuelle. "


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