Ils sont venus visiter notre planète en 1997


Géorgie: 23 septembre 1997. Un objet en forme de soucoupe.
Mexico: 6 août 1997. Un disque planant au-dessus des immeubles.
Caracas: 8 octobre 1997. Une sphère rouge avec une "petite étoile".
Floride: 9 novembre 1997. Un météore et un objet en forme de disque.
Ohio: 8 octobre 1997. Lumière blanche et triangles
Lancashire: 9 octobre 1997. Des disques tourbillonnants.
Sassari: 19 octobre 1997. Un groupe de lumières intenses bleues.
Sardaigne: 14 septembre 1997. 3 vagues de 15 lumières chacune.
Nouvelles calles: 29 septembre 1997. Un objet noir très gros .

Oklahoma: 4 octobre 1997. Objet triangulaire, troué en son centre.
Punta Arenas: 15 septembre 1997. Un objet discoïde volant très bas.
Bahaia: du 17 octobre 1997. Un phénomène rond couvert de lumière.
Metz: 7 septembre 1997. Des témoins filment une madeleine aplatie
Toulon: 4 septembre 1997. Deux gros points blancs.
Sanary: 27 septembre 1997. Un objet de couleur bleue.
Palerme: 28 septembre 1997. Forme rectangulaire de couleur noire.
Victoria: octobre 1997. Vives lumières puis triangle brun0.
Christchurch: 12 novembre 1997. Deux objets en forme d' yeux.






Une soucoupe volante à croix gammée

A la fin de la guerre on s'est aperçu que les scientifiques nazis était en train de développer fiévreusement une "arme secrète finale, qui, espéraient-ils, permettrait d'inverser le cour des événements"



Il s'agit d'un hélicoptère supersonique mû par douze turbines disposées à l'intérieur d'un anneau métallique mobile tournant autour de la masse centrale. Il pourra aisément transporter des bombes à 20.000 mètres d'altitude.

Il atteint en trois minutes une altitude de 12.400 mètres et vole à la vitesse de 2.200 kilomètres heure.

Le prototype, ainsi que toute la documentation et les maquettes du projet furent détruits en avril 1945, de manière à ce que l'ennemi ne puisse rien prouver.

Le mythe des ovnis du Troisième Reich ou mythe des ovnis nazis, ou encore la légende du V7, est un mythe ufologique selon lequel des ovnis auraient été construits en secret durant la période du Troisième Reich en Allemagne ou par la suite dans des bases secrètes, en particulier en Antarctique. Apparu dès le début des années 1950 dans les milieux nazis et néonazis sur fond de croyance en la survie du Troisième Reich, ce mythe a connu depuis des enrichissements successifs dans le cadre d'une propagande visant à séduire en jouant sur l'attrait pour l'ufologie et les théories du complot.

Le lien entre les soucoupes volantes et de prétendues révélations selon lesquelles les ingénieurs nazis auraient effectué des recherches dans ce domaine est rapidement affirmé3. Dans une interview publiée par Der Spiegel, un ancien officier de la Luftwaffe, le capitaine Rudolf Schriever, déclare avoir conçu les plans d'un engin à décollage vertical4. Lorsqu'une compagnie canadienne annonce en 1953 la mise au point d'un engin volant circulaire, un autre ingénieur allemand, Georg Klein, ancien fonctionnaire du Ministère du Reich pour l'Armement et les Munitions, soutient que ce genre de réalisations était déjà courant sous le IIIe Reich, avec en particulier un engin mis au point par un ingénieur du projet de missile V2, Richard Miethe5. Erich Halik, proche de Wilhelm Landig et membre de son groupe voué à l'ariosophie, publie entre 1951 et 1955, dans le magazine ésotérique autrichien Mensch und Schicksal, une série d'articles reliant en particulier le mythe des soucoupes volantes nazies opérant à partir d'une base secrète en Antarctique au « témoignage » de rencontres extraterrestres de George Adamski. Il suscite peu d'échos dans l'immédiat, mais fixe un des motifs récurrents du mythe : les soucoupes volantes seraient un élément clé de plans nazis destinés à permettre la poursuite du conflit après la défaite. Dans le même ordre d'idées, un livre paru en 1955 en Afrique du Sud décrit un engin à réaction dénommé « V-7 » qui serait celui mis au point par Richard Miethe et dont un exemplaire serait tombé entre les mains de l'URSS7. Le mythe est également relayé à la fin des années 1950 par la littérature de plus en plus importante sur le thème des armes secrètes nazies, avec en particulier les écrits de Rudolf Lussar et d'un ingénieur italien, Renato Vesco.


En France



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